Jours 44-47On franchit donc la marche et nous sommes accueillis par un staff jeune et délirant, toujours le mot pour faire éclater de rire et le geste pour ajouter un peu de piment dans cette mer de Corail si calme.
Nous passons la première soirée en amoureux, seuls sur le pont sous des milliers d’étoiles et les quelques étoiles filantes que nous attrapons du regard. La nuit est noire, magique. Beaucoup plus tard, nous sommes rejoints par un allemand, Max et un italien, Vicento. Max nous apprend à repérer la Croix du Sud et que la tache nébuleuse est la Voie Lactée.
6H30, le lendemain matin. Diling Diling, c’est l’heure du petit déjeuner ! Je ne bronche pas : on nous avait dit que l’on partirait en pleine nuit et que l’on se réveillerait en plein milieu des îles. Toute excitée, je sors sur le pont. C’était à couper le souffle !
Nous sommes impatients d’arriver à la fin du briefing pour la plongée et d’aller rejoindre la plage. A quelques mètres du bateau se trouve Whitehaven Beach, le paradis blanc, qui porte son nom à merveille. Mais mademoiselle chance en a décidé autrement : panne de moteur en pleine mer, juste à temps pour voir une tortue géante nager, remonter à la surface, respirer, regarder partout autour, puis replonger. Ca commence très très bien.
La plage est encore plus belle vue de près. Mer transparente, sable blanc et fin, forêt tropicale, le paradis. Vous noterez, cher lecteur, que ce mot « paradis » est repris souvent. C’est tout simplement que je n’ai encore rien vu de plus beau que les paysages d’Australie dans ma vie.
Les trois heures de farniente ne sont interrompues que par l’entrainement à la plongée et quelques passes de beach volley dans l’eau.
Nous passons la première soirée en amoureux, seuls sur le pont sous des milliers d’étoiles et les quelques étoiles filantes que nous attrapons du regard. La nuit est noire, magique. Beaucoup plus tard, nous sommes rejoints par un allemand, Max et un italien, Vicento. Max nous apprend à repérer la Croix du Sud et que la tache nébuleuse est la Voie Lactée.
6H30, le lendemain matin. Diling Diling, c’est l’heure du petit déjeuner ! Je ne bronche pas : on nous avait dit que l’on partirait en pleine nuit et que l’on se réveillerait en plein milieu des îles. Toute excitée, je sors sur le pont. C’était à couper le souffle !
Nous sommes impatients d’arriver à la fin du briefing pour la plongée et d’aller rejoindre la plage. A quelques mètres du bateau se trouve Whitehaven Beach, le paradis blanc, qui porte son nom à merveille. Mais mademoiselle chance en a décidé autrement : panne de moteur en pleine mer, juste à temps pour voir une tortue géante nager, remonter à la surface, respirer, regarder partout autour, puis replonger. Ca commence très très bien.
La plage est encore plus belle vue de près. Mer transparente, sable blanc et fin, forêt tropicale, le paradis. Vous noterez, cher lecteur, que ce mot « paradis » est repris souvent. C’est tout simplement que je n’ai encore rien vu de plus beau que les paysages d’Australie dans ma vie.
Les trois heures de farniente ne sont interrompues que par l’entrainement à la plongée et quelques passes de beach volley dans l’eau.
L’après midi est consacré à la plongée et au snorkeling (=palmes / masque / tuba). L’instructeur nous avait dit que l’on serait obligés de faire de la plongée cet après midi si nous voulions également plonger dans la Grande Barrière de Corail (encore une arnaque ?). heureusement, en creusant on se rend compte qu’il est possible de l’éviter. Notre après midi se résume assez vite : faire les lézards sur le bateau, Bob Marley dans les oreilles (=le bonheur), snorkeling, s’allonger sur la deuxième plage, une île entièrement déserte. De plus, nous sommes à une période extraordinaire : la migration des baleines. Nous avons donc eu la chance de voir en tout 5 baleines sortir de l’eau ! Incroyable !
Comme la nature avait décidé de nous gâter ce jour là, nous avons vu aussi 5 dauphins nageant près du bateau. Quelques minutes plus tard, le coucher du soleil sur l’Océan Pacifique est époustouflant…
Nous pensions que nous avions déjà vécu beaucoup de premières fois et que nous étions les plus chanceux du monde, mais le lendemain n’a fait qu’augmenter d’échelle. A 9H30, nous étions déjà levés depuis trois heures et nous nous trouvions en pleine mer, il n’y avait strictement rien autour de nous. Nous voila maintenant parés pour faire de la plongée sous-marine dans la Grande Barrière de Corail. 3,2,1, roll ! nous basculons en arrière du bateau pour nous retrouver en plein féérie grandeur nature. Toutes les couleurs de l’arc en ciel sont là, les énormes bancs de poisson et les tortues aussi ! L’aventure a été un tout petit peu gâchée par un problème à l’oreille gauche dû à la pression de l’eau (pourtant ce n’était pas la première fois que je faisais de la plongée), mais j’ai continué de faire le rond avec mes doigts, signalant que tout allait bien. J’ai pu donc voir toutes ces merveilles, je suis juste remontée deux minutes avant Valentin car ma tête allait exploser et je commençais à tourner de l’œil…
J’ai vite été consolée. A l’heure du déjeuner, une dizaine de requins sont venus barboter autour du bateau. Ni une, ni deux, tout le monde se met à sauter pour nager parmi eux ! Même pas peur… Nous avons fait le plein d’émotions je crois !
Comme la nature avait décidé de nous gâter ce jour là, nous avons vu aussi 5 dauphins nageant près du bateau. Quelques minutes plus tard, le coucher du soleil sur l’Océan Pacifique est époustouflant…
Nous pensions que nous avions déjà vécu beaucoup de premières fois et que nous étions les plus chanceux du monde, mais le lendemain n’a fait qu’augmenter d’échelle. A 9H30, nous étions déjà levés depuis trois heures et nous nous trouvions en pleine mer, il n’y avait strictement rien autour de nous. Nous voila maintenant parés pour faire de la plongée sous-marine dans la Grande Barrière de Corail. 3,2,1, roll ! nous basculons en arrière du bateau pour nous retrouver en plein féérie grandeur nature. Toutes les couleurs de l’arc en ciel sont là, les énormes bancs de poisson et les tortues aussi ! L’aventure a été un tout petit peu gâchée par un problème à l’oreille gauche dû à la pression de l’eau (pourtant ce n’était pas la première fois que je faisais de la plongée), mais j’ai continué de faire le rond avec mes doigts, signalant que tout allait bien. J’ai pu donc voir toutes ces merveilles, je suis juste remontée deux minutes avant Valentin car ma tête allait exploser et je commençais à tourner de l’œil…
Lundi, le dernier jour a été l’occasion de squatter la plage privée d’un hôtel à 2000 – 4000$ la nuit. Le risque en valait la chandelle : d’autres poissons multicolores au rendez-vous, une autre tortue de mer que nous avons suivie et gratouillée avec Val, des coraux et encore des coraux ! Un membre de l’équipage a eu la bonne idée de venir parmi nous et de jeter des graines aux poissons. Ceux-ci sont donc venus par dizaines au milieu de nous et se sont laissés toucher. Dernière grosse émotion de la journée, complétée par deux dauphins suivant le bateau et sautant dans les vagues…
Nous avons à peine le temps de se rendre compte de ce que nous venons de vivre que nous sommes déjà arrivés au port d’Airlie Beach.
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