lundi 17 août 2009

Beach volley by night

Photo : Google

Jour 35.

La dernière pièce du puzzle a été trouvée. Il ne me manquait plus que le volley pour que je sois comblée. C’est maintenant chose faite. A la suite de mon cours magistral de sport management, un étudiant de mon TD vient me voir : « tu as dit que tu étais nulle au beach volley, right ? » - « I’m ridiculous at beach volley »
Et ce dernier de m’apprendre qu’il existe des terrains de beach à l’autre bout du campus. Comme j’avais deux heures de trou et qu’il y allait, je l’ai suivi. Ce fut ma belle surprise de la journée, les terrains sont parfaits !
A côté de la quinzaine de terrains de sable blanc se trouvent le bureau, un stand pour acheter de quoi boire et manger, et un endroit protégé des intempéries qui abrite des canapés en rond autour d’un poêle. Que demander de mieux ?
Un des gérants de « sand storm », Sébastien (un français), m’explique le fonctionnement et m’invite chaleureusement à repasser le soir même. Si tôt dit, si tôt fait (presque). Je m’échappe de mon cours de marketing et file au stade. Après avoir traversé la sombre forêt teintée de l’orange des lampadaires, les lumières blanches des terrains apparaissent comme la lumière au bout du tunnel. Les terrains sont pleins. En effet, en regardant les personnes jouer et en discutant avec eux, j’apprends que la plupart sont des habitués. Sébastien avait invité des amis français. Evidemment, j’ai craqué et je n’ai pas sû dire « non » lorsqu’ils m’ont proposé de jouer avec eux.

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