Jour 19. Toute règle est faite pour être contournée. Evidemment mon premier article n’est pas écrit sur le vif du tout. En cause le vide intersidéral de connexion des premiers jours. Pourtant j’avais prévenu mes parents de ne pas s’en inquiéter. Ca n’a pas empêché mon père de lancer un avis de recherche auprès de la police. 1er jour, 1er drame (ou comédie, j’aime mieux cette version).
D’ailleurs, revenons un peu en arrière, l’avant-début, la préface, l’incipit : le voyage. On passe les adieux à l’aéroport, allons directement à la première escale. Non, un voyage Paris-Brisbane ne se fait pas en un jour. Singapour, pas mon amour. Je n’ai pas aimé ton taux d’humidité à 80%, autant me placer directement dans une serre. Je n’ai pas aimé le décalage horaire (« jetlâââg ») qui nous a fait perdre une nuit. Je n’ai pas aimé les touristes nous prenant en photo en train de dormir sur des zones interdites. Singapour, adieu pour toujours.
Puis, le vrai début. Jour 1, vendredi 3 juillet, 7h du matin. On monte dans le air train, je me sens déjà chez moi. Contrairement à notre habitude, il ne s’est vraiment rien passé de palpitant (hormis peut-être le fait d'être retenu quelques minutes au bureau de l'immigration car Valentin avait oublié d'écrire son prénom dans sa demande de visa). Vous allez être déçus, on a même trouvé notre hôtel sans problème. Pire encore, il était conforme à la photo du magazine.
Fin du 1er jour. Oui, à 7H30 du matin environ. L’heure à laquelle on a eu la mauvaise idée de s’allonger sur le lit.
D’ailleurs, revenons un peu en arrière, l’avant-début, la préface, l’incipit : le voyage. On passe les adieux à l’aéroport, allons directement à la première escale. Non, un voyage Paris-Brisbane ne se fait pas en un jour. Singapour, pas mon amour. Je n’ai pas aimé ton taux d’humidité à 80%, autant me placer directement dans une serre. Je n’ai pas aimé le décalage horaire (« jetlâââg ») qui nous a fait perdre une nuit. Je n’ai pas aimé les touristes nous prenant en photo en train de dormir sur des zones interdites. Singapour, adieu pour toujours.
Puis, le vrai début. Jour 1, vendredi 3 juillet, 7h du matin. On monte dans le air train, je me sens déjà chez moi. Contrairement à notre habitude, il ne s’est vraiment rien passé de palpitant (hormis peut-être le fait d'être retenu quelques minutes au bureau de l'immigration car Valentin avait oublié d'écrire son prénom dans sa demande de visa). Vous allez être déçus, on a même trouvé notre hôtel sans problème. Pire encore, il était conforme à la photo du magazine.
Fin du 1er jour. Oui, à 7H30 du matin environ. L’heure à laquelle on a eu la mauvaise idée de s’allonger sur le lit.
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